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Rechercher : pourquoi tant de haine

  • QUI GOUVERNE VRAIMENT ?

    Nous ne sommes pas complices d'un système, mais mis en état de servitude par un système financier contrôlé par une très petite oligarchie internationale, principaux actionnaires des grandes banques dont également et principalement la FED (banque centrale américaine), ainsi que la BCE (banque centrale européenne), l'une et l'autre étant des Grandes Banques privées, totalement indépendantes des Gouvernements et des Institutions politiques.
    Un petit monde qui peut faire la pluie et le beau temps, construire très facilement une ville dans un désert, comme assoiffer une nation.

     



    Vous croyiez que la Banque de France est une institution "publique" ? comme son nom "semble" l'indiquer ! et que s'y logeait le Trésor Public, le bas-de-laine de l'État quand il n'est pas en période de vaches maigres ? ...
    Croyances populaires que tout ça !!!!!!!!! Banque de France ne veut pas dire Banque de "la" France.
    Que nenni !


    Annie Lacroix-Riz, historienne
    Extraits de sa conférence (voir la vidéo ci-haut)

    "Pour la quasi-totalité de la population, et je dois dire l’historien inclus évidemment avant qu’il ne découvre les dossiers, un gouvernement … ça se prépare dans des conditions diverses, mais enfin un gouvernement ça n’existe que en régime parlementaire, parce qu’un parlement lui donne son acceptation, l’agrée, procède à son installation.

    Eh bien ça ne se passe pas du tout comme ça !

    Depuis Bonaparte, qui a fait à la France des institutions qui consacraient bien la victoire de la bourgeoisie, depuis Bonaparte et la création de la Banque de France, c’est donc une assez vieille affaire, euh, la Banque de France a reçu le moyen de gouverner les gouvernements de façon très simple. Chaque gouvernement dépend des avances de la Banque de France qui est un club de banques privées ... de la Grande Banque, de ce que l’on appelle la Grande Banque, et donc, lorsqu'un gouvernement est pressenti, dans des conditions qu’éclairent aussi les archives, eh bien avant de se présenter devant le Parlement, il se présente devant ce que l’on appelle le gouvernement de la Banque de France, c'est-à-dire le petit noyau des plus grands banquiers qui régentent la banque de France parmi lesquels on comptait dans la période qui nous occupe, xxxx qui était un des maîtres des industries sidérurgiques de la France, […]

    Et donc, tout premier ministre pressenti, accompagné de son ministre des finances, … et donc le gouvernement qui dépendait des bontés de la Banque de France qui lui accordait ou ne lui n’accordait pas ses avances, le gouvernement venait promettre au gouvernement de la Banque de France, au futur gouvernement, de faire un bon usage bien économe des deniers, puisqu’un État c’est bien connu, c’est toujours impécunieux, et que cela a toujours tendance à laisser filer les salaires et autres , et il promettait donc d’appliquer l’assainissement financier qui était la clef de l’octroi des dites avances. J’insiste sur le fait qu’ils promettaient, et que, Herriot en 1924 et Léon Blum en 1936 ont promis …
    […]
    J’insiste beaucoup sur le fait que, … je sais bien que cela choquera beaucoup, mais au vu des archives que je produis ce sera difficile de contester, j’insiste beaucoup sur le fait que le gouvernement de la France ne gouvernait rien, mais que la Banque de France gouvernait le gouvernement, et que, en France, il ne date nullement d’aujourd’hui que les banquiers et les industriels gouvernent le gouvernement. C'est-à-dire que le terme fort à la mode depuis un certain nombre d’années, selon lequel parce qu’autrefois les gouvernants gouvernaient, alors qu’aujourd’hui ce sont les banquiers internationaux qui gouvernent est un thème qui correspond à une réalité complètement pas neuve."

  • 6 AOUT 2009 : AGISSONS AUJOURD'HUI POUR EVITER UNE CATASTROPHE FUTURE

    6 Août 1945, HIROSHIMA

    9 Août 1945, NAGASAKI

    Nous devons agir aujourd’hui

    pour éviter une catastrophe future !

    6 AGOSTO 45 HIROSHIMA.pdf

    6 DE AGOSTO DE 1945 HIROSHIMA.pdf

    6 OF AUGUST 1945 HIROSHIMA.pdf

    HIROSHIMA - Le 6 Août 1945 à 8 heures du matin, Truman, président des États-Unis, ordonna de larguer la première bombe atomique sur Hiroshima.

    NAGASAKI - Le 9 Août 1945, une seconde bombe atomique fut lancée sur Nagasaki.

    Les deux villes furent rasées en quelques secondes et des milliers de personnes moururent en un instant.

    Les gens qui se trouvaient plus loin des épicentres d’explosion moururent dans les jours qui suivirent.

    Les quelques survivants souffrent encore aujourd’hui des conséquences de l’irradiation et les transmettent aux générations suivantes.

    Quelques jours plus tard, l’empire japonais capitula, marquant la fin de la seconde guerre mondiale.

    Les auteurs de ce massacre prétendirent le justifier en arguant qu’il était nécessaire de forcer la capitulation de l’ennemi, afin d’éviter des maux pires encore. Mais la réalité est que cette monstruosité a créé un danger bien plus grand car le génie nucléaire qu’ils ont éveillé a grandi et s'est multiplié au point de menacer l’existence de toute l’humanité.

    Les États-Unis ont tenté de garder l’exclusivité nucléaire et de faire en sorte qu'aucun autre pays ne puisse posséder cette capacité de destruction. Mais l’Union Soviétique a fait exploser sa propre bombe nucléaire en 1949. Et depuis, le Royaume Uni, la France, la Chine, l’Inde, le Pakistan, et la Corée du Nord ont développé l’armement nucléaire.

    Il existe par ailleurs des soupçons non démentis qu’Israël détienne également ces armes de destruction massive.

    Aujourd’hui, environ 30 000 têtes nucléaires menacent le monde entier.

    Bien qu’il soit encourageant que les mandataires des USA et de la Russie aient remis sur la table des négociations le sujet du désarmement nucléaire, nous ne pouvons oublier que nous vivons un moment à haut risque.

    Hormis les intérêts irresponsables des puissances nucléaires et la folie de groupes violents qui pourraient accéder à un matériel nucléaire aux dimensions réduites, le risque d’un accident à conséquences dévastatrices augmente chaque jour.

    Afin d’éviter qu’une catastrophe nucléaire ne se répète dans le futur, nous devons agir aujourd’hui. Il est nécessaire de créer une prise de conscience quant à la détente et à la coopération entre peuples.

    Faisons front commun au sein de la Marche Mondiale pour la Paix et la Non-violence en exigeant de ceux qui décident :

    • le désarmement nucléaire total au niveau mondial,

    • le retrait des troupes d’invasion des territoires occupés,

    • la réduction progressive et proportionnelle de l’armement conventionnel,

    • la signature de traités de non agression entre pays et

    • le renoncement des gouvernements à utiliser la guerre comme moyen de résoudre des conflits.

    La Marche Mondiale pour la Paix et la Non-violence est un appel à notre conscience personnelle, c’est la voix que nous devons tous élever, c’est une proposition morale, c’est l’action juste dans ce moment difficile.

    L’horreur d’Hiroshima et de Nagasaki n’est pas restée en arrière dans l’Histoire. Ces images de douleur et de mort absurde demeurent vives dans notre conscience. Elles alimentent notre aspiration profonde à un monde dans lequel ce type d’atrocité est inconcevable.

    Nous nous souvenons aujourd’hui des habitants d’Hiroshima et Nagasaki afin de dignifier leur mémoire et de renforcer un mouvement mondial, ouvert et divers, qui rejette toute forme de violence et place l’être humain comme valeur primordiale.

    Rafael de la Rubia
    Coordinateur de la Marche Mondiale pour la Paix et la Non-violence
    www.marchamundial.org

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    6 DE AGOSTO DE 1945 HIROSHIMA.pdf

    6 OF AUGUST 1945 HIROSHIMA.pdf

  • COMPRENDRE L'ORIGINE DU VOILE DANS L'ISLAM

    MAHMOUD AZAB.jpg

    INTERVIEW D'ARTHUR NOUREL
    AVEC UN SPECIALISTE DE L’ISLAM
    le PROFESSEUR MAHMOUD AZAB


    En France et ailleurs, certaines pratiques des musulmans semblent contestables ou dérangent. Ces pratiques sont elles l’Islam "véritable"? De partout fusent des réponses approximatives ou tout à fait erronées. Les prises de position se multiplient ; souvent l’ignorance habite les esprits.

    Il nous a semblé important d’interroger un spécialiste de l’Islam, le Professeur Mahmoud Azab, [1] pour qu’il nous éclaire sur l’Islam en nous donnant des indications historiques et académiques sur le texte fondateur de la religion. Il nous explique la doctrine religieuse et son évolution qui sont, bien différentes des pratiques populaires de l’Islam. Nous avons inauguré avec lui une série d’entretiens sur les sujets qui questionnent les sociétés occidentales et les communautés musulmanes, notamment en France. Le premier entretien portait sur la lapidation. Aujourd’hui, nous explorons la question du «voile» des femmes.



    Arthur Nourel : Monsieur le Professeur, avant d’aborder directement la question du voile des femmes dans l’Islam, y a- t'il un contexte global de la situation de la femme que vous souhaiteriez exposer afin que nos lecteurs puissent nous accompagner dans le voyage historique et textuel que nous leur proposons ?

    Professeur Mahmoud Azab : Pour traiter le sujet du voile dans l’Islam, il faut d’abord connaître le statut de la femme arabe dans la société ante islamique et le comparer au statut de la femme dans la société judéo chrétienne biblique ainsi qu’à celui de la femme dans les cultures grecque et égyptienne. C’est en examinant l’histoire et le contexte sociologique que l’on peut expliquer et comprendre la position du Coran et de l’Islam, à l’époque, en ce qui concerne la femme.

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    Propos recueillis par Arthur Nourel
    Arthur Nourel est journaliste et politologue. Il est spécialiste du monde arabe. Il est également photographe.


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    [1] Après des études à l’université d’Al Azhar au Caire, Mahmoud Azab obtient en France un Doctorat en études sémitiques (Sorbonne 1978). Il a été professeur de langues sémitiques à l’université d’Al Azhar au Caire. Il a été professeur coopérant chargé de l’enseignement bilingue au sein de nombreuses universités africaines (Niger, Tchad.). Il a également été délégué de l’Université d’Al Azhar aux conférences internationales de dialogues interculturels. Il a été nommé en 1996 à Paris comme professeur associé d’arabe classique (langue et littérature) à l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (langues « O ») où il est professeur titulaire d’islamologie depuis 2002.