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« Les hommes, depuis des années maintenant, ont parlé de la guerre et de la paix. Mais maintenant, ils ne peuvent plus juste en parler. Ce n'est plus un choix entre la violence et la non-violence dans ce monde ; c'est un choix entre la non-violenceet la non-existence.»Martin Luther King
Le 28 août 1963,le discours "I have a dream"fut prononcé sur les marches duLincoln Memorial. C'est le discours le plus célèbre deMartin Luther Kinget une partie importante de l'American Civil Rights Movement. Il illustre clairement le désir de voir dans le futur les Noirs et les Blancs coexister harmonieusement et vivre égaux. Ce message d'espoir est célèbre dans le monde entier, bien au-delà des frontières des États-Unis.
Aujourd'hui l'espoir de vivre en paix est brisé par les valeurs de l'argent et par les conflits où une culture et une croyance cherche à s'imposer sur toutes les autres.
- Pour que tous les citoyens qui ont un rêve de paix, de non-violence et de dialogue inter culturel et inter religieux, puissent l'exprimer et le rendre vivant.
- Pour annoncer la Marche Mondiale pour la Paix et la Non-Violence qui va unir des milliers de personnes, dans 100 pays. http://www.theworldmarch.org
Créer un réseau qui agisse sur Paris et la Banlieue en faveur avec la méthodologie de la non-violence active.
En hommage au message d'espoir
de Martin Luther King
I have a dream
J'ai fait un rêve
SAMEDI 29 AOUT 2009
Nous aussi nous avons des rêves de Paix et de Non-Violence à construire !
Le 28 aout 1963, Martin Luther King prononçait son message d'espoir. Aujourd'hui :Marche mondiale pour la Paix et la Non-Violence c'est notre rêve qui devient réalité du 2 octobre au 2 janvier, un nouveau pas pour une nouvelle conscience planétaire, sans violence, sans discrimination !
Au programme Plateau Reggae Franco-International 15h30-18h30 Zenobia / Nasheely/ Reya Sunshine Daddy Clean and co mix IandI crew Réseau SACHE CAIDD Textes libres, Slam Familial Food
*... Il faut se mobiliser pour dire halte à la barbarie dans les pays musulmans.
*Je lance un appel à tous les démocrates, aux humanistes, aux juifs toujours les premiers à payer le prix fort de la barbarie humaine, aux chrétiens du monde entier ainsi qu à tous les musulmans épris de paix et respectueux de la vie humaine, de faire entendre leur voix et de se mobiliser en faveur de leurs frères humains coptes égyptiens, chrétiens syriens et des minorités religieuses vivant dans les pays musulmans. *Ils doivent savoir que chaque chrétien, juif, musulman qui se représente l’islam comme religion du bien vivre ensemble, apostat de l’islam, athée, libéral, agnostique, progressiste, qu’on tue dans un pays musulman est leur propre humanité qu’on tue à travers les victimes du fanatisme musulman aux relents racistes et génocidaires.
Tandis qu’une bonne partie de la presse occidentale prépare une victoire du Hamas dans l’opinion publique, la presse arabe dénonce de plus en plus ouvertement le Hamas comme le principal ennemi des Palestiniens.ICI
Ahmed Al-Jarallah, rédacteur en chef du quotidien koweitien Arab Times, écrit aujourd’hui dans un article intitulé “5e colonne palestinienne”:
"Il est malheureux que depuis 1948 des Palestiniens provoquent plus de défaites au détriment de leur cause. Au cours des trois dernières décennies, ces Palestiniens ont refusé toute solution mise sur la table alors qu’ils essaient par différents moyens de porter un coup à l’unité arabe (…) Le Hamas continue de faire le négoce du sang d’innocents à Gaza et a rejeté les appels au cessez-le-feu. Se pensent-ils capables de vaincre Israël avec leurs armes primitives? Que ça nous plaise ou non, Israël est là. Aucune solution n’est possible sans qu’Israël en fasse partie. Il revient donc aux Palestiniens de se libérer de leurs illusions et de sincèrement essayer de contempler les bénéfices apportés par l’initiative égyptienne de cessez-le-feu. "
Sur le site web de la chaîne de télévision saoudienne Al-Arabiya, l’analyste Azzem Ibrahim écrit aujourd’hui dans un article intitulé “Qu’est-ce que le Hamas cherche à accomplir?“:
"Le Hamas se livre à un jeu cynique en lançant des roquettes militairement inutiles et insignifiantes sur Israël. L’objectif de ces attaques injustifiées qui ne peuvent percer le Dôme d’acier israélien, ne peut être raisonnablement autre que de provoquer une contre-attaque israélienne. Leur espoir est de provoquer une sympathie sensible dans le monde musulman qui pourrait sauver le Hamas financièrement."
Dans le quotidien saoudien Arab News, Abdulateef al-Mulhim écrivait le 16 juillet dernier dans un article intitulé “Missiles israéliens et abris anti-aériens gazaouis“:
"Pourquoi le Hamas a-t-il été capable de développer un réseau sophistiqué de tunnels, mais a failli à construire des abris anti-aériens s’ils savaient qu’il y aurait des conflits armés? Si le Hamas voulait vraiment un conflit armé, il aurait dû alors au moins construire des abris anti-aériens pour les pauvres Palestiniens innocents, La majorité d’entre eux ne veulent pas de ce conflit armé”.
L’Égypte, le pays arabe le plus populeux, n’est pas en reste. Ici, des animateurs de télévision populaires dénoncent virulemment le Hamas:
Et enfin ici, cet animateur d’Al-Jazira qui cite en exemple l’éthique de l’armée israélienne, chose inimaginable il y a si peu de temps encore.
Il s'agit de Louis-Georges Tin, invité de l'excellente émission quotidienne d'Emmanuel Laurentin sur France-Culture, «La Fabrique de l'Histoire» ; chaque vendredi, un-e historien-ne répond à la question «À quoi ça sert, l'histoire ?»
Voici le texte de Louis-Georges Tin : <<A quoi ça sert l'histoire ? A faire apparaître des processus, là où ne voyons que des résultats. Or, cette démarche singulière n'est pas sans conséquence. Pour illustrer cette idée, un exemple suffira. Il concerne l'histoire des femmes.
J'ai souvent rencontré des jeunes filles qui me disaient : - Moi au moins, je ne suis pas féministe. Je suis même antifémiste.
Cette attitude me semblait assez étonnante. Je leur demandais alors : -Mais êtes-vous contre le droit de vote pour les femmes, êtes-vous contre l'égalité salariale entre hommes et femmes, ou contre le droit à la contraception ? Bien entendu, elles répondaient par la négative. Evidemment, elles étaient pour le droit de vote pour les femmes, elles étaient pour l'égalité salariale et pour le droit à la contraception.
-Mais d'après vous, leur demandais-je, à qui devons-nous tous ces progrès sociaux ? Ne serait-ce pas, par hasard, aux mouvements féministes ?...
Pourquoi ces jeunes filles vont-elles jusqu'à se dire antiféministes ? Parce que, au-delà du stigmate social qui pèse sur le féminisme en général, on leur a appris, dans le meilleur des cas, l'histoire des résultats. On leur a appris par exemple que, dans sa grande bonté, le général de Gaulle a «accordé» le droit de vote aux femmes à la fin de la seconde guerre mondiale. Or, si on leur avait appris l'histoire des processus, elles auraient entendu une tout autre version. Elles auraient appris que, après plusieurs décennies de combats acharnés, les mouvements féministes avaient finalement obtenu le droit de vote pour les femmes à la fin de la guerre.
Evidemment, si l'histoire des processus était mieux partagée, toutes ces jeunes filles, auraient eu une autre vision du féminisme. Mais faute d'attribuer aux mouvements féministes le crédit qui leur revient, elles étaient plus accessibles au discrédit qui pèse sur le féminisme en général, qui leur apparaît tout au plus comme un mouvement d'emmerdeuses sans humour, un mouvement tout à fait inutile dans le meilleur des cas. Mais ce n'est ici qu'un exemple, et on pourrait en dire tout autant pour ce qui est de l'histoire des mouvements homosexuels, des mouvements noirs, des mouvements syndicaux, etc.
En ce sens, on le voit bien, la véritable Histoire consiste à faire apparaître «l'Ordre des processus» derrière «l'Ordre des résultats». Et cette connaissance constitue bien souvent un enjeu politique. Mais il y a ceux qui ignorent ces processus, et ceux qui ont intérêt à ce qu'on ignore ces processus... >> Louis-Georges Tin, maître de conférences à l'Université d'Orléans et à l'EHESS, a publié entre autres le Dictionnaire de l'homophobie (PUF 2003), et l'Invention de la culture hétérosexuelle (Autrement, 2008).
La cause des femmes Travailler sur l’homophobie, c'est comprendre rapidement le lien qui existe avec le sexisme. "Ce n’est pas un hasard si les personnes les plus sexistes sont les plus homophobes. L’idée qu‘une femme est inférieure à un homme et donc qu’un homme efféminé est inférieur à un homme…" Le constat l'amène à travailler sur la question du sexisme à partir de l’homophobie. Dans ce sens, il rejoint le combat féministe sur Olympe de Gouge pour son entrée au Panthéon, auquel il ajoute la mulâtresse Solitude. Une pétition circule, soutenue par de nombreuses personnalités intellectuelles et politiques. "Nous militons pour les deux mais savons que si nous souhaitons parvenir à un résultat, il faut se concentrer sur l’une, et ce sera Olympe." Tout est lié. Ce qui fédère les engagements de Louis-Georges Tin c'est de lutter contre toutes les formes de dominations sociales arbitraires, tous les préjugés, toutes les discriminations.