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AUTRE CHANGEMENT : FINANCIER, MORAL, ETC - Page 6

  • QUE LA PAIX S'INSTALLE ENTRE ISRAEL ET LA PALESTINE !!!

    QUE L'ETAT D'ISRAEL ET LE HAMAS ECOUTENT LEUR PEUPLE !!

    New-York : Les juifs orthodoxes préfèrent aller en prison plutôt que de rejoindre l’armée sioniste. 

     
    MICHELE SIBONY, porte-parole de l'Union Juive Française pour la Paix
     
     
     
     
     
    http://worldpeace.hautetfort.com/album/paix-au-proche-orient/
     

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    Par SALEM BEN AMMAR
    JUILLET 23, 2014 

    * ... Il faut se mobiliser pour dire halte à la barbarie dans les pays musulmans.

    * Je lance un appel à tous les démocrates, aux humanistes, aux juifs toujours les premiers à payer le prix fort de la barbarie humaine, aux chrétiens du monde entier ainsi qu à tous les musulmans épris de paix et respectueux de la vie humaine, de faire entendre leur voix et  de se mobiliser en faveur de leurs frères humains  coptes égyptiens, chrétiens syriens et des minorités religieuses vivant dans les pays musulmans.
    * Ils doivent savoir que chaque chrétien, juif, musulman qui se représente l’islam comme religion du bien vivre ensemble, apostat de l’islam, athée, libéral, agnostique, progressiste, qu’on tue dans un pays musulman est leur propre humanité qu’on tue à travers les victimes du fanatisme musulman aux relents racistes et génocidaires.
    Lire la suite ici

     

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    Tandis qu’une bonne partie de la presse occidentale prépare une victoire du Hamas dans l’opinion publique, la presse arabe dénonce de plus en plus ouvertement le Hamas comme le principal ennemi des Palestiniens.  ICI

    Ahmed Al-Jarallah, rédacteur en chef du quotidien koweitien Arab Times, écrit aujourd’hui dans un article intitulé “5e colonne palestinienne”:
    "Il est malheureux que depuis 1948 des Palestiniens provoquent plus de défaites au détriment de leur cause. Au cours des trois dernières décennies, ces Palestiniens ont refusé toute solution mise sur la table alors qu’ils essaient par différents moyens de porter un coup à l’unité arabe (…) Le Hamas continue de faire le négoce du sang d’innocents à Gaza et a rejeté les appels au cessez-le-feu. Se pensent-ils capables de vaincre Israël avec leurs armes primitives? Que ça nous plaise ou non, Israël est là.  Aucune solution n’est possible sans qu’Israël en fasse partie. Il revient donc aux Palestiniens de se libérer de leurs illusions et de sincèrement essayer de contempler les bénéfices apportés par l’initiative égyptienne de cessez-le-feu. "
    Sur le site web de la chaîne de télévision saoudienne Al-Arabiya, l’analyste Azzem Ibrahim écrit aujourd’hui dans un article intitulé “Qu’est-ce que le Hamas cherche à accomplir?“:
    "Le Hamas se livre à un jeu cynique en lançant des roquettes militairement inutiles et insignifiantes sur Israël. L’objectif de ces attaques injustifiées qui ne peuvent percer le Dôme d’acier israélien, ne peut être raisonnablement autre que de provoquer une contre-attaque israélienne. Leur espoir est de provoquer une sympathie sensible dans le monde musulman qui pourrait sauver le Hamas financièrement."
    Dans le quotidien saoudien Arab News, Abdulateef al-Mulhim écrivait le 16 juillet dernier dans un article intitulé “Missiles israéliens et abris anti-aériens gazaouis“:
    "Pourquoi le Hamas a-t-il été capable de développer un réseau sophistiqué de tunnels, mais a failli à construire des abris anti-aériens s’ils savaient qu’il y aurait des conflits armés? Si le Hamas voulait vraiment un conflit armé, il aurait dû alors au moins construire des abris anti-aériens pour les pauvres Palestiniens innocents, La majorité d’entre eux ne veulent pas de ce conflit armé”.

    L’Égypte, le pays arabe le plus populeux, n’est pas en reste. Ici, des animateurs de télévision populaires dénoncent virulemment le Hamas:


    Et enfin ici, cet animateur d’Al-Jazira qui cite en exemple l’éthique de l’armée israélienne, chose inimaginable il y a si peu de temps encore.
     
     
     
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    LE HAMAS EMPECHE LES CIVILS DE FUIR
     
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    LIENS:

    * http://salembenammar.wordpress.com

    * http://www.francetvinfo.fr/monde/palestine/gaza/quand-juifs-et-arabes-refusent-d-etre-des-ennemis_653001.html

    * http://www.planetpositive.org/isablog/actu/6462-mobilisation-massive-et-inedite-des-juifs-dans-le-monde

    * http://journaldumusulman.fr/quand-des-juifs-protestent-contre-israel-les-medias-sabsentent/

    * http://journaldumusulman.fr/a-manhattan-des-milliers-de-juifs-etaient-dans-la-rue-pour-protester-contre-israel/

    * http://salembenammar.wordpress.com/2014/07/23/que-les-pro-palestiniens-condamnent-les-crimes-de-lislam-radical-avant-de-soutenir-le-hamas/comment-page-1/#comment-590

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    A TELECHARGER:

    QUAND JUIFS ET ARABES REFUSENT D'ETRE ENNEMIS.pdf

    UN ARTICLE DE SALEM BEN AMMAR.pdf

  • ARRETER L'EPANDAGE AERIEN

    UN BIOCHIMISTE explique sa participation à l'épandage aérien

    TELECHARGER

    traces blanches_n.jpg

     http://www.developpement-durable.gouv.fr/Segolene-Royal-veut-interdire-l.html

    COMMUNIQUE DE PRESSE-PDF

    * Madame Ségolène Royal, ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie est opposée à l’épandage aérien de pesticides et souhaite tirer, avec le Gouvernement, toutes les conséquences de la décision récente du Conseil d’État.

    * Ségolène Royal signera, dans les meilleurs délais, avec la ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine, et le ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, Stéphane Le Foll, un arrêté interdisant l’épandage aérien de pesticides pour l’ensemble des cultures qui pouvaient bénéficier d’une dérogation :

    - sans délai pour le maïs doux, maïs pop-corn et bananes ;

    - dans 18 mois pour quelques cultures spécifiques de riz et de certains vignobles, pour lesquels il est nécessaire de trouver une alternative garantissant la sécurité des utilisateurs.

    * La ministre salue l’engagement des agriculteurs depuis plusieurs années pour trouver des techniques alternatives qui rend aujourd’hui possible cette décision.

  • INDUSTRIE DU MEDICAMENT : TEMOIGNAGE DE JOHN VIRAPEN

    Sans corruption pas de médicaments

    JOHN VIRAPEN.jpg

    - SON SITE -

    Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/sante/20140418.OBS4469/industrie-du-medicament-j-ai-vendu-mon-ame-au-diable.html

    * John Virapen, livre le récit de son parcours dans l'industrie pharmaceutique. Son livre est sorti en France jeudi 17 avril, au lendemain de la mort de Jacques Servier.

    * "Depuis des années, parfois aux premières heures du jour, des silhouettes fantomatiques m’apparaissent en rêve, écrit-il en préambule. Elles se tapent la tête contre les murs ou s’entaillent les bras et la gorge a coups de rasoir. J’ai maintenant compris que j’avais indirectement contribué a la mort de personnes dont les ombres me hantent.

    * Je n’ai évidemment tué personne directement, mais aujourd'hui je ne peux pas ne pas me sentir responsable en partie de ces morts. J’ai été un instrument, un exécutant, mais consentant, aux mains de l’industrie. […] J’ai été certes manipulé, mais sans me poser de questions. J’ai vendu mon âme au diable."


    LE CAS DU PROZAC

    * D’origine indoue et fils de pêcheur illettré de la Guyane britannique, l’auteur de ce mea culpa glaçant est entré dans l’industrie pharmaceutique, en 1968, par la toute petite porte. En acteur habile de ce qui ne s’appelle pas encore marketing, John Virapen est déjà en 1981 directeur des ventes de la firme Eli Lilly pour la Suède.

    * Il raconte les petits pactes inavouables qui se scellent dans ce milieu feutré, et la main mise des firmes sur les leaders d’opinion, ces grands professeurs renommés et gardiens de la doxa. Ainsi l’entre eux, spécialiste du traitement de la douleur et expert au ministère de la santé, recevait-il de Lilly un salaire fixe, moyennant conseil, relecture de brochures et autres conférences.

    * On faisait surtout appel à lui en cas d’attaque contre nos produits dans les médias, souvent à propos d’effets secondaires. Il écrivait immédiatement des articles en notre faveur dans les journaux médicaux. Le microcosme médical était rassuré, la grande presse n’en parlait plus."

    * En 1986, pour le lancement de la fluoxétine d’Eli Lily, molécule d’or baptisée Prozac qui sera jusqu’à expiration du brevet en 2001 l’antidépresseur le plus prescrit au monde, John Virapen va commettre ce qui le hante au petit matin : avoir aidé à promouvoir un médicament dont il connaissait –déjà- l’impact suicidaire (pour les effets secondaires réels des psychotropes, voir le site de veille sanitaire indépendant de David Healy, chercheur à l’université de Cardiff RxiSK.org) et dont la supériorité sur le placébo n’est toujours pas établie en 2014.

    * Mais pour l’heure, tandis qu’au siège on organise le plan com’ qui fera de la dépression une maladie couramment diagnostiquée dans tous les pays riches, les satrapes de Lilly s’affairent dans les capitales afin d’obtenir pour le Prozac une autorisation de mise sur le marché.


    Comment des suicidés ont disparu

    * A Stockholm, John Virapen sait qu’un expert indépendant a été officiellement désigné pour émettre un avis. Le nom du professeur est confidentiel, pour tenir éloignés les lobbies justement. John Virapen veut savoir. Il n’y a dans toute la Suède que cinq experts psychiatres suffisamment qualifiés pour avoir été sollicité par l’Etat.

    * L’un fait partie des autorités de santé ; ça ne peut être lui. Pour les quatre autres, il va agir en profiler et demander à ses visiteurs médicaux de se renseigner, discrètement. Après quelques semaines de ce maillage discret, l’expert est repéré : c’est Pr Z., à Göteborg. "J’entrepris d’étudier le Pr Z. de plus près. Il aimait la voile. Je m’achetai un livre sur la voile." Virapen l’appelle, et parvient à l’inviter à dîner.

    * Un facteur a joué en ma faveur, je n’aimais pas le Pr Z, poursuit-il. Une réelle sympathie rend les manipulations plus difficiles. On n’aime pas piéger une personne qu’on apprécie. On ne veut pas obliger quelqu’un qu’on aime à franchir les frontières de la légalité. Le fait de ne pas aimer était donc un atout."

    * Un deuxième dîner va sceller leur entente. "L’argent est toujours utile", répond l’expert indépendant quand son hôte lui demande ce qui ferait accélérer son affaire. Le lendemain, Virapen appelle le bureau de Lilly à Copenhague, qui supervise les pays du Nord, explique qu’il faut 100.000 couronnes pour obtenir une autorisation rapide, soit 20.000 dollars. "Le bureau de Copenhague consulta celui de Genève. Cela prit 24 heures. Puis je reçus un appel : "John, faites tout ce qui vous semble nécessaire."

    * L’expertise du Dr Z. en fut quelque peu orientée. Dans le dossier initial, voici un exemple de ce qu’on pouvait lire : "Sur dix personnes ayant pris le principe actif, 5 eurent des hallucinations et firent une tentative de suicide dont 4 avec succès." A la place on lisait désormais : "Les 5 derniers ont présentés divers effets secondaires." Escamotés, les suicidés sous Prozac, au cours de la phase d’expérimentation.


    Au dessus des lois ? Au dessus des Etats ?

    * Ce témoignage paraît un mois après celui de Bernard Dalbergue,(1) ancien cadre de chez Merck ; un an après l’ouvrage de Julie Wasselin qui fut pendant trente ans visiteuse médicale (2); et dix ans après que Philippe Pignarre, ancien de chez Synthelabo et lanceur d’alerte avant l’heure, a publié "Le Grand secret de l’industrie pharmaceutique" (3). Tous démontrent que la santé est depuis trente ans une affaire de business et de marketing sur fonds de désinformation aux conséquences criminelles.

    * La confession de John Virapen a été traduite par Philippe Even, qui poursuit ainsi un travail de recadrage entrepris en 2005, soit cinq ans avant le scandale Servier, avec sa traduction du livre Marcia Angell, rédactrice en chef démissionnaire du prestigieux "New England Journal of Medecine" (NEJM), "La vérité sur les compagnies pharmaceutiques" (4).

    * Etrangement, ces révélations ne suscitent pas l’effroi et les révolutions qu’elles devraient. Comme si la pharmaco-délinquance était une fatalité, et l’industrie du médicament une organisation impossible à contrôler, au-dessus des lois, au-dessus des Etats.

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    (1) "Omerta dans les labos pharmaceutiques", Avec Anne-Laure Barret, Flammarion
    (2) "Le quotidien d’une visiteuse médicale", L’Harmattan.
    (3) Editions La Découverte
    (4) Editions du Mieux Etre