Web
Analytics Made Easy - StatCounter

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

AUTRE CHANGEMENT : FINANCIER, MORAL, ETC - Page 14

  • LES BISHNOIS

    http://planetbishnoi.wordpress.com/

    Du 18 décembre 2011 au 31 août 2012, le peuple indien des Bishnoïs est à l’honneur dans le métro parisien dans la station Luxembourg du RER B. Six fresques photographiques géantes – 16m de long et 6m de haut chacune – leur sont dédiées avec des photographies de Franck VOGEL et des textes d’Irène FRAIN.

    VOIR LE LIVRE DE FRANCK VOGEL :
    http://www.blurb.fr/books/3587400

    paix,conflits,armes,humanisme,silo,politique,actualités,monde sans guerres,nation humaine universelle,changement du monde,société,santé,spiritualité,conscience universellepaix,conflits,armes,humanisme,silo,politique,actualités,monde sans guerres,nation humaine universelle,changement du monde,société,santé,spiritualité,conscience universelle

    LE FONDATEUR DU BISHNOISME :
     Djambo (dit aussi Jambhoji -1451-1535) 

    http://www.indexploration.com/les-bishnois.htm

    Les errants qui avaient rencontré Djambo sur la dune de Samrathal cherchent avec lui une terre où ils puissent vivre son rêve : étendre à la Nature le principe de justice. Il trouvent un lieu isolé où il reste de l'eau et y inventent, non une nouvelle religion, mais une nouvelle façon de vivre. Ils finissent par fixer à 29 le nombre de leurs principes — certains inspirés du bouddhisme. D’où leur nom: Bishnoïs — «29» en hindi.

    Suppression des castes, protection des femmes (refus du système de la dot, interdiction de l'immolation des veuves, création du congé maternité), végétarisme, respect absolu des arbres, de tous les animaux sauvages et domestiques et de tous les vivants, etc. Dans ce lieu qu’on appellera «Djamba» naît une oasis prospère. Un pèlerinage pour les Bishnoïs du XXIème siècle qui déposent rituellement une poignée de sable en haut du tertre rouge. Une construction destinée au recueillement abrite une niche. 

    La forêt des 29 - L'histoire de Djambo, de ses descendants et du peuple Bishnoï. Aux Editions Michel Lafon - A télécharger :

    foretdes29.pdf

     

    THE BISHNOIS

     Les 29 commandements des Bishnoïs
    http://www.indexploration.com/les-bishnois.htm

    Suivre avec fidélité ces 29 commandements permet à l'adepte du bishnoïsme de se libérer définitivement du cycle des naissances (samsâra) et des morts en atteignant le Moshka, s'il y a Grâce de la part du Seigneur Vishnou.

    Voici la liste des 29 règles des bishnoïs :

    Observer une mise à l'écart de la mère et du nouveau-né pendant trente jours après l'accouchement (pour éviter des infections et à cause de l'éventuelle fatigue de la mère).

    Ecarter la femme de toute activité pendant 5 jours lors du début de ses règles (pour ne pas la fatiguer et respecter une certaine hygiène).

    Tôt, chaque matin, prendre un bain.

    Maintenir la propreté externe du corps et interne de l'esprit (par un comportement et des sentiments humbles, sans animosité, etc.)

    Méditer deux fois par jour, en matinée et en soirée, lorsque la nuit est encore séparée du jour.

    Chanter la gloire du seigneur et exposer ses vertus chaque soirée.

    Offrir l'oblation quotidienne au feu saint avec un cœur rempli de sentiments de bien-être pour tout être vivant, d'amour pour la nature et le monde entier et de dévotion au seigneur.

    Employer l'eau filtrée, le lait et le bois de chauffage soigneusement nettoyé (pour éviter que des insectes soient tués ou brûlés).

    Etre attentif et conscient de ses paroles.

    10° Pardonner naturellement.

    11° Être compatissant.

    12° Ne pas voler.

    13° Ne pas dénigrer, déprécier derrière le dos, quelqu'un.

    14° Ne pas mentir.

    15° Ne pas se livrer à l'opprobre.

    16° Jeûner et méditer la nuit sur la nouvelle lune.

    17° Réciter le nom de saint de Vishnou.

    18° Être compatissant envers tous les êtres vivants.

    19° Ne pas détruire les arbres verts (c'est-à-dire non morts).

    20° Tuer les passions de convoitises, d'irritation, d'envie, d'avarice et d'attachement.

    21° Se permettre de cuisiner soi-même, ou par un fidèle d'une autre religion ou secte, en étant pur de par le cœur et le travail.

    22° Fournir un abri commun (Thhat) pour les chèvres et les moutons afin de leur éviter l'abattoir.

    23° Ne pas castrer le taureau.

    24° Ne pas consommer ou cultiver de l'opium.

    25° Ne pas consommer ou cultiver du tabac et ses dérivés.

    26° Ne pas consommer ou cultiver du cannabis.

    27° Ne pas boire de boisson alcoolisée.

    28° Ne pas manger de plats de viande ou non-végétariens (afin de protéger les animaux) et obligation de protéger et de nourrir les animaux sauvages.

    29° Ne pas utiliser de vêtements teints en bleu (en Inde antique, cette couleur était obtenue grâce à un arbre sauvage, l'indigo, et c'est aussi la couleur de la mort).

    Quelques principes Bishnoï

    4Ne jamais abattre un arbre verdoyant, attendre que le bois soit mort pour l'utiliser comme bois de construction.

    4Mettre les morts simplement en terre qui se nourrira de la chair. Faire l'économie du bois pour la crémation ou le cercueil.

    4La propreté et l'hygiène gardent de la maladie.

    4Protéger la vie sauvage qui maintient la fertilité des sols et l'équilibre naturel des espèces. Ils sont tenus de réserver un dixième de leur récolte céréalière pour l'alimentation de la faune locale.

    4Conserver l'eau à l'usage des hommes et des animaux et en construisant des réservoirs partout où cela est nécessaire.

    4Pratiquer le végétarisme et se prémunir de toute addiction.

    4Ne rien attendre du râja ou du gouvernement, ne compter que sur la communauté.

    4Les femmes, sources de la vie, s'habilleront de vêtements rouge ou orange brillant, et les hommes de blanc, symbole de dévotion.

    4La violence n'est acceptable que pour la défense d'un arbre, d'un animal ou de convictions ; il est bon de mourir pour cela.

    -----------------

    LIENS

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Bishno%C3%AF

    http://www.indexploration.com/les-bishnois.htm

    http://www.bishnoism.com/index.php

    http://planetbishnoi.wordpress.com/

    http://laterredabord.fr/articles7/bishnoi.html

  • LES DANGERS DU GAZ DE SCHISTE

    GASLAND est un film documentaire de 2010 écrit et réalisé par Josh Fox. Le film se concentre sur des communautés américaines touchées par le forage du Gaz de Schistes et plus précisément, un procédé connu sous le nom de « fracturation hydraulique ».

    paix,guerres,conflits,armes,humanisme,silo,politique,actualités,monde sans guerres,nation humaine universelle,changement du monde,société,santé

    Source : http://www.tvqc.com/2010/12/gasland-en-streaming-documentaire-sur-le-gaz-de-schiste/

    En mai 2008, Fox a reçu une lettre d’une société de gaz naturel lui proposant de louer les terres de sa famille à Milanville, en Pennsylvanie pour 100 000 $ afin forer pour trouver du Gaz de Schiste.

    À la suite de l’offre, il a cherché des informations sur le forage de gaz naturel dans le schiste Marcellus situé sous une grande partie de la Pennsylvanie, New York, l’Ohio et la Virginie-Occidentale. Il a visité Dimock, en Pennsylvanie où le forage de gaz naturel a déjà eu lieu. À Dimock, il a rencontré des familles capables de faire couler l’eau du robinet avec du feu ainsi que des familles souffrant de nombreux problèmes de santé et craignant que leurs puits d’eau soient contaminés.

    Tout au long du documentaire, Fox tendit la main à des scientifiques, des politiciens et des cadres de l’industrie du gaz et finalement s’est retrouvé dans les couloirs du Congrès alors qu’un sous-comité discutait de la loi sur la responsabilité de fracturation et de sensibilisation à des produits chimiques (Fracturing Responsibility and Awareness of Chemicals Act), « un projet de loi modifiant la loi sur la sécurité de l’eau potable (Safe Drinking Water Act) pour abroger certaines exemptions pour la fracturation hydraulique. » La fracturation hydraulique a été exempté de la loi sur la sécurité de l’eau potable et la loi sur la politique énergétique de 2005 (Energy Policy Act).

    Gaz de Schiste
    Le gaz de schiste (anglais : Shale gas) est une forme de gaz naturel produite à partir des schistes. Ils jouent un rôle de plus en plus important dans l’approvisionnement en gaz naturel aux États-Unis depuis une décennie. On s’intéresse de plus en plus au potentiel gazier des schistes au Canada, en Europe, en Asie ainsi qu’en Australie. Un analyste s’attend à ce que les gaz de schiste constituent la moitié de la production nord-américaine de gaz naturel d’ici 2020.

    D’autres analystes s’attendent aussi à ce que le gaz de schiste puisse accroître considérablement les approvisionnements énergétiques mondiaux. Selon une étude du Baker Institute of Public Policy de l’Université Rice, l’augmentation de la production de gaz de schiste aux États-Unis et au Canada pourrait contribuer à empêcher la Russie, le Qatar et l’Iran de dicter des prix plus élevés pour le gaz qu’ils exportent vers l’Europe. L’administration Obama aux États-Unis estime que l’intensification de l’exploitation des gaz de schiste permettra de réduire les émissions de gaz à effet de serre.

    ACHAT DVD

    http://www.arte.tv/fr/gasland-en-dvd/4147238.html

    http://www.amazon.com/Gasland-Josh-Fox/dp/B0042EJD8A

  • MAROC : TEMOIGNAGES D'HOMMES ET DE FEMMES QUI ASSUMENT LEUR CHOIX DE VIE HORS DU SYSTEME ETABLI

    marocaines marocains.jpg

    Source : http://www.telquel-online.com/En-couverture/Temoignages-Ces-Marocain%28e%29s-qui-disent-non/530

    Quatre hommes et neuf femmes ont accepté de témoigner, à visage découvert, de leur révolution personnelle, intime, singulière.

    Aadel Essaadani
    45 ans, militant et acteur culturel
    “Je ne me cache pas pour boire”

    Beaucoup de nos compatriotes boivent de l’alcool mais ne l’assument pas. Ce comportement incarne, à sa manière, la schizophrénie du sous-développement et perdure car l’individu n’existe pas encore véritablement chez nous... (Lire suite)

    Leila Hafyane
    36 ans, écrivain
    “Je ne cache pas mes amours”

    J’ai rendez-vous avec mon homme, l’aimé d’un été, et ça se voit. Il m’attend chez moi. Mon arrivée réveille le gardien de voitures de ma rue. Il me voit. Je me gare. Il sort de sa torpeur et m’indique une place... (Lire la suite)

    Ibtissam Betty Lachgar
    36 ans, psychologue clinicienne – psychothérapeute
    “Je ne fais pas le ramadan”

    L’inquisition socio-religieuse et les dispositions juridiques iniques étouffent ma liberté. Le mois de ramadan, par exemple, même s’il n’est pourtant qu’une des parties visibles de l’iceberg... (Lire la suite)

    Imane E. Arouet
    24 ans, responsable éditoriale
    “Je suis athée”

    24 ans, je fête les dix ans de mon apostasie. Dix ans que j’ai peu à peu sombré dans un déisme voltairien avant de basculer vers un athéisme convaincu, réfléchi, alimenté de lectures philosophiques et théologiques... (Lire la suite)

    Rayan Benhayoun
    23 ans, étudiant en école de commerce
    “Je ne cache pas mon homosexualité”

    Je me suis rendu compte de mon homosexualité vers l’âge de 12 ans. Je n’avais jamais eu de sentiments pour une fille, je ne me sentais pas comme un garçon de mon âge dit “normal”. A ce moment-là, j’ai su que j’étais différent... (Lire la suite)

    Hind Bariaz
    35 ans, professeur d’anglais
    “J’ai le droit d’avorter si je le souhaite”

    Mon corps m’appartient et l’avortement est mon droit. Je le dis et je le crie haut et fort, d’autant que je l’ai vécu. J’ai avorté et je ne m’en cache pas. Mon compagnon et moi étions très sereins face à cette décision, que nous avons prise d’un commun accord... (Lire la suite)

    Zineb El Rhazoui
    31 ans, journaliste
    “J’aurais pu épouser un juif”

    On s’entend, c’est dans une autre vie que ça aurait pu arriver ! Ou plus justement, dans un autre pays. Au Maroc, il ne suffit pas de s’aimer et de vouloir s’unir pour le meilleur et pour le pire… (Lire la suite)

    Farah Abdelmoumni
    23 ans, étudiante en communication
    “Je suis contre le voile”

    Récemment, la mère d’une amie m’a dit : “Farah, tu es une fille droite, avec beaucoup de belles choses en toi. Quel dommage que tu ne sois pas mouhtajiba, autrement tu serais la fiancée parfaite pour mon fils…” Au début, j’ai cru qu’elle plaisantait... (Lire la suite)

    Yasmine Ghallab
    50 ans, professeur de mathémathiques
    “J’ai eu un enfant sans être mariée”

    Il m’est souvent arrivé de faire des choix de vie jugés peu communs. Et celui d’adopter un enfant, en tant que mère célibataire, a été le plus important. Cette idée a germé doucement avant de céder à une décision qui a été longuement mûrie... (Lire la suite)

    Nizar Bennamate
    26 ans, journaliste
    “Je refuse l’idée d’être musulman de naissance”

    Certes, nous héritons tous de la religion de nos parents. Mais arrive un moment où chacun doit s’interroger et user de son intelligence pour trancher, faire ses choix. Non, la liberté de conscience n’est pas l’affaire d’une minorité, elle doit être l’affaire de tout le monde... (Lire la suite)

    Omar Louzi
    47 ans, consultant en environnement et développement durable
    “Je ne suis pas contre l’Etat d’Israël”

    Je suis allé en Israël et en Palestine. Et j’ai compris que les peuples israélien et palestinien veulent vivre en paix, et que ce sont les politiciens de tous bords qui perpétuent le conflit. Le drame israélo-palestinien dure car il est basé sur deux visions racistes de ce conflit... (Lire la suite)

    Fatym Layachi
    29 ans, comédienne
    “Je refuse de cacher mon corps”

    Jamais je ne renierai mon corps. Ce corps que j’ai montré dans mon dernier film, Femme écrite. Non pas par impudeur, non pas par inconscience ou gratuité. Tout le contraire. Le réalisateur Lahcen Zinoun m’a offert un rôle sublime, un rôle de femme, berbère et tatouée. Un rôle qui raconte cette mémoire que l’on efface... (Lire la suite)

    Aymane Aouidi
    23 ans, militant associatif
    “Je suis contre le Makhzen”

    Avec l’avènement du Printemps de la jeunesse marocaine, une jeunesse qui rêve d’un Maroc où règne la liberté et la justice sociale, je ne peux que constater que le principal verrou au progrès de notre pays c’est la mafia makhzénienne. Comment accepter que le Maroc — qui possède d’importantes réserves de phosphates et des terres agricoles très fertiles— soit plongé dans de telles difficultés économiques ?... (Lire la suite)