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politique - Page 20

  • COMMENT L'INDUSTRIE ALIMENTAIRE SE TRANSFORME EN VERITABLE CRUAUTE ENVERS LES ANIMAUX

    LIENS ASSOCIES :

    http://www.viande.info/

    http://www.scienceshumaines.com/faut-il-encore-manger-de-la-viande_fr_29777.html

    http://www.one-voice.fr/alimentation-et-vetements-sans-barbarie/viande-et-environnement-la-planete-en-peril/

    Un appel historique
    Le Groupe intergouvernemental d’experts sur le climat (GIEC), qui a obtenu le prix Nobel de la paix, a récemment lancé au monde entier un appel à manger moins de viande, compte tenu de l’énorme impact de la production de viande sur le réchauffement planétaire.

    Cet appel historique, lancé en janvier 2008, a suivi de plusieurs mois la publication d’un article scientifique dans la revue médicale de référence The Lancet proposant que le monde entier s’engage à réduire la consommation quotidienne moyenne de viande.

    « Je souhaiterais un mode de consommation qui protège cette planète et traite les animaux et autres êtres vivants comme des éléments de la Création devant être traités avec respect et attention. » Rajendra Pachauri, Président du GIEC. Farm Animal Voice n°171, automne 2008.

    http://biocoenoseterre.over-blog.org/pages/Impact_de_la_production_de_viande_sur_lenvironnement-2759289.html

    LIVRES

    JONATHANpaix,religion,spiritualité,droits humains,humanisme,actualités,politique,femmes,monde sans guerres,nation humaine universelle,guerres,conflits armés SAFRAN FOER
    "Faut-il manger les animaux ?"

     

     

     

     

     

    INTERVIEW DE JONATHAN SAFRAN FOER

    http://www.lesinrocks.com/2011/01/18/actualite/faut-il-manger-les-animaux-entretien-avec-jonathan-safran-foer-1121069/

    EN PDF

    INTERVIEW DE JONATHA SAFRAN FOER.pdf

    CITATIONS

    * Thomas Edison: "Je suis végétarien et anti-alcoolique: ainsi je peux faire un meilleur usage de mon cerveau".

    * Mahatma Gandhi: "Je crois que le progrès spirituel exige de nous que nous cessions de tuer les autres êtres vivants pour nos besoins corporels".

    * Albert Einstein: "Rien ne peut être aussi bénéfique à la santé humaine et augmenter les chances de survie de la vie sur terre que d'opter pour une diète végétarienne".

    * Mahatma Gandhi: "La grandeur d'une nation et ses progrès moraux peuvent être jugés de la manière dont elle traite les animaux".

    * Léonard de Vinci: "J'ai très tôt renoncé à la viande et un jour viendra où les hommes tels que moi proscriront le meurtre des animaux comme ils proscrivent aujourd'hui le meurtre de leurs semblables".

    * Pythagore: "Tant que les hommes massacreront les animaux, ils s'entre-tueront. Celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut récolter la joie et l'amour".

    * Marguerite Yourcenar: "Les animaux sont mes amis et je ne mange pas mes amis".

    * Emile Zola: "Pourquoi la souffrance d'une bête me bouleverse-t-elle ainsi ? Pourquoi ne puis-je supporter l'idée qu'une bête souffre, au point de me relever la nuit, l'hiver, pour m'assurer que mon chat a bien sa tasse d'eau ? [..]
    Pour moi, je crois bien que ma charité pour les bêtes est faite de ce qu'elles ne peuvent parler, expliquer leurs besoins, indiquer leurs maux. Une créature qui souffre et qui n'a aucune moyen de nous faire entendre comment et pourquoi elle souffre, n'est ce pas affreux, n'est ce pas angoissant ?"

    * Claude Levi-Strauss: "Depuis une quinzaine d'années, l'ethnologue prend davantage conscience que les problèmes posés par les préjugés raciaux reflètent à l'échelle humaine un problème beaucoup plus vaste et dont la solution est encore plus urgente : celui des rapports entre l'homme et les autres espèces vivantes ; et il ne servirait à rien de prétendre le résoudre sur le premier plan si on ne s'attaquait pas aussi à lui sur l'autre, tant il est vrai que le respect que nous souhaitons obtenir de l'homme envers ses pareils n'est qu'un cas particulier du respect qu'il devrait ressentir pour toutes les formes de la vie".

    * Pythagore: "Tant que les hommes massacreront les animaux, ils s'entre-tueront. Celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut récolter
    la joie et l'amour."

    * Naturaliste célèbre, Carl Linée (1707-1778), Docteur de la Marine Suédoise, Président de l'Académie des Sciences et professeur de botanique à Stockholm et à l'université de Upsala: "D'après son anatomie, l'homme n'a pas été physiologiquement préparé pour manger de la viande".

    * Georges Cuvier (1769-1832) naturaliste français, anatomiste et géologue. Il fut professeur à l'Ecole et Museum de France, Secrétaire de l'Académie des Sciences et Chancelier de l'Université. Il créa la théorie de l'anatomie comparée et la paléontologie. Il reçut les distinctions et titres de baron et grand officier de la Légion d'Honneur et fut honoré par Napoléon 1er, Louis XVIII et Louis-Philippe: "L'anatomie comparée nous enseigne qu'en toute chose, l'homme ressemble aux animaux frugivores et en rien aux carnivores...".

    * Alexander von Humbold (1769-1859), naturaliste allemand, explorateur et géographe. Il est considéré comme le fondateur de la climatologie, morphologie terrestre, géographie physique des océans et géographie des planètes: "Se nourrir des animaux n'est pas loin de l'anthropophagie et du cannibalisme".

     

  • JAPON : QUAND LA JEUNESSE DIT "NON"

    Au Japon, certains refusent de devenir agent des télécoms, policier ou réalisateur, ils ont choisi de ne pas perdre leur vie à la gagner. Un véritable blasphème dans le deuxième pays le plus riche du monde où le travail est une religion.

  • INDE : UN HOMME CREE DES SERVIETTES HYGIENIQUES POUR LES FEMMES

     

    Source : http://www.madmoizelle.com/serviettes-hygieniques-femmes-inde-112802

    Dans son pays, Arunachalam Muruganantham est surnommé «le Roi du tampon». Et pour cause : l’Indien a révolutionné la vie de centaine de milliers de femmes de son pays.

    S’il n’a rien d’exceptionnel dans nos pays occidentaux, l’usage de serviettes hygiéniques n’est pas une évidence ailleurs dans le monde. En Inde, par exemple, le produit était considéré il y a encore un peu comme «un luxe». Arunachalam Muruganantham, auto-entrepreneur, en a décidé autrement.

    L’histoire commence par une anecdote de la vie quotidienne. En voyant sa femme ramasser des chiffons dans la maison, Arunachalam Muruganantham lui demande la raison de son affairement et se trouve très surpris par la réponse : «Si j’achète des serviettes hygiéniques, ça veut dire que je ne pourrai pas acheter de lait pour la famille.»

    En effet, vendu à un prix inabordable au sein des économies émergentes, nombreuses sont les femmes à se passer du confort de ce produit de toilette intime.

    Soucieux d’améliorer le quotidien des femmes qui l’entoure, Arunachalam Muruganantham va alors, avec ingéniosité et persévérance, monter une entreprise de serviettes hygéniques low-cost. Une société qui permet aujourd’hui à des centaines de milliers de femmes de bénéficier d’un confort qu’elles ne connaissaient pas, tout en offrant un emploi aux Indiennes des zones rurales.

    En 2011, seuls 12% des indiennes peuvent se payer des serviettes hygiéniques. Selon une étude réalisée l’année dernière, 88% des femmes en Inde se voient dans l’obligation d’utiliser des «moyens alternatifs» pour gérer leurs règles (linge non traité, boue, sable, feuille ou papier journal…). Du côté des adolescentes, la menstruation est d’ailleurs souvent un motif d’absence scolaire. Or, ce recours limité aux serviettes hygiéniques s’avère être facteur d’infections à répétition.


    Objectif : 10 roupies le paquet au lieu de 30
    Face à ce constat alarmant, Arunachalam Muruganantham crée une machine avec un budget limité (75 000 roupies, soit 1 000 euros). En 5 étapes, l’invention permet de produire 120 serviettes par heure. L’objectif ? Démocratiser le produit en le commercialisant à bas prix. Le nouvel entrepreneur souhaite vendre 10 roupies le paquet de serviettes, là où les multinationales spécialisées les vendaient à 30.

    Le Monde raconte : « Celui qui n’est pas allé à l’école et vit sous le seuil de pauvreté à Coimbatore, petite ville dans l’État du Tamil Nadu, au sud de l’Inde, prend tellement son idée au sérieux qu’il va tenter de la concevoir de bout en bout, tests à l’appui.

    Pendant quatre années, il porte les serviettes lui-même pour vérifier leur ergonomie, utilise des poches remplies de sang de chèvre pour en constater le pouvoir d’absorption, collectionne les serviettes usagées pour les étudier et se voit finalement menacé d’être quitté par sa femme et sa mère qui le prennent pour un fou.

    La révélation vient quand il appelle des fabricants américains en se faisant passer pour un investisseur et leur demande de lui envoyer la matière première : il découvre alors qu’il s’agit de fibre végétale, qu’il doit transformer en cellulose, et non de coton, comme il l’imaginait au départ.»
       
    Un vrai défi de santé publique
    Aujourd’hui, la start-up d’Arunachalam Muruganantham compte 600 machines, capables de produire 1000 serviettes par jour dans 23 États indiens. Ce sont majoritairement des groupes de femmes des régions rurales qui acquièrent le matériel nécessaire grâce à des microcrédits ou à des ONG. Le processus entier (de la fabrication à la distribution) est ainsi réalisé par des femmes qui y gagnent un emploi mieux rémunéré que dans l’agriculture.

    Arunachalam Muruganantham, récompensé en 2009 par un prix de l’innovation, est aujourd’hui en discussion avec des entrepreneurs et des ONG de pays africains intéressés par son mode de production. À la clé : une révolution pour les femmes des pays en voie de développement.

    Indeserviettes.jpg

    INTERVIEW DE ARUNACHALAM MURUGANANTHAM A TELECHARGER

    An Indian Inventor Disrupts The Period Industry.pdf


    LIENS :

    www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=V4_MeS6SOwk#!

    http://www.fastcoexist.com/1679008/an-indian-inventor-disrupts-the-period-industry

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/07/02/un-indien-cree-des-serviettes-low-cost-pour-ses-concitoyennes_1728091_3234.html

    http://www.courrierinternational.com/article/2012/04/16/un-entrepreneur-au-service-des-femmes